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Hacker avec un ordinateur portable. Il utilise l'IA pour le piratage.
Quand les hackers investissent l'IA

Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) attire l'attention des utilisateurs car des hackers exploitent de plus en plus de l'IA pour les piéger.

Les pirates informatiques utilisent des programmes malveillants présentés comme des outils d'IA avec des interfaces identiques pour piéger les utilisateurs.

Le responsable de la sécurité des systèmes d'information chez Meta, a déclaré lors d'une conférence de presse que depuis mars 2023, 10 groupes de logiciels malveillants se faisant passer pour ChatGPT et d'autres IA afin de compromettre des comptes en ligne avaient été identifiés.

Les acteurs malveillants sont toujours à l'affût des dernières tendances qui peuvent attirer, comme les cryptomonnaies. La capacité de l'interface ChatGPT d'OpenAI à converser de manière fluide avec les humains et à générer du code, des e-mails et des dissertations suscite un engouement massif et peut constituer un biais de vulnérabilité.

Les équipes de sécurité de Meta ont découvert de fausses extensions de navigateurs prétendant contenir des outils d'IA. Certaines de ces extensions incluaient réellement de tels outils, probablement pour paraître crédibles aux yeux des plateformes de téléchargement ou des utilisateurs.

Cependant, une fois téléchargées et installées, elles permettent aux Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp) attire l'attention des utilisateurs car des hackers exploitent de plus en plus de l'IA pour les piéger.

Les pirates informatiques utilisent des programmes malveillants présentés comme des outils d'IA avec des interfaces identiques pour piéger les utilisateurs.

Comme d'autres géants de la technologie, le réseau social investit massivement dans l'IA.

Cependant, cette nouvelle vague technologique présente de nombreux risques, tant dans le domaine de la désinformation que du piratage. L'IA doit dont être régulée et l'Europe y travaille depuis 2021. Bien que le temps de la réflexion soit nécessaire, ce temps long n'est pas favorable aux citoyens de l'Union.

L’Union Européenne n’a « pas de temps à perdre » pour réguler l’intelligence artificielle, a déclaré lundi 8 mai la vice-présidente de la Commission européenne Margrethe Vestager, appelant à « vite » adopter un texte qui fait actuellement l’objet de vives discussions au Parlement.

Preuve que le temps est compté, L'IA a bien évoluée depuis 2 ans et les textes en préparations doivent maintenant en tenir compte. Preuve que le temps est compté.