Pour une carte d’identité numérique capable d’authentifier les contenus à l’ère de l’IA générative

La généralisation des outils d’intelligence artificielle générative bouleverse notre rapport à l’image. Les deepfakes ne sont plus des curiosités techniques : ils deviennent des instruments d’influence, de manipulation et parfois de désinformation.

Le terme « vibe coding » s’est imposé récemment dans la communauté des développeurs. Il décrit une nouvelle manière de programmer : non plus en écrivant soi-même le code, mais en laissant une intelligence artificielle générative le produire à partir d’une simple description.

La cybersécurité des chaînes logicielles open source fait aujourd’hui partie des préoccupations majeures des RSSI, des DSI… mais aussi des assureurs.

Chaque rentrée est pour nous un moment de remise en ordre : nouveaux projets, nouvelles habitudes, et souvent la volonté de repartir sur de bonnes bases. Mais dans cette organisation, nous oublions trop souvent un domaine pourtant essentiel : notre sécurité numérique personnelle.

Depuis plus d’un demi-siècle, l’évolution des technologies numériques a été guidée par un principe simple, presque prophétique : la loi de Moore. Formulée en 1965 par Gordon Moore, elle prédisait que le nombre de transistors sur une puce allait doubler tous les deux ans, entraînant mécaniquement une augmentation de la puissance de calcul et une baisse des coûts.